Le transfert culturel dans la traduction littéraire : Exemple de Les sept jours de l’homme d'Abdel Hakim Qassem

نوع المستند : المقالة الأصلية

المؤلف

Egypt. Menuofia government. Shibin el Kom

المستخلص

Chaque langue a une propre culture. Pour cela, l’étude culturelle occupe une place centrale dans la traductologie. Puisque la traduction représente le transfert d'un message d'une langue-culture source vers une autre langue-culture cible, le traducteur a dû maîtriser bien la culture de départ que la culture d'arrivée pour éviter le décalage culturel. Pour cela, les définitions données à la traduction se concentrent sur l'autre culture, l'autre civilisation, l'autre en général qui pourrait être tout à fait divers du lecteur cible. La question du transfert culturel a commencé, dès la deuxième moitié du XX siècle, à attirer l'attention des théoriciens. Afin de traiter l'une de ces deux méthodes générales de la traduction, les traductologues tâchent d'exposer des stratégies détaillées pour la traduction des référents culturels. Citons, par exemple, Gambier qui propose cette liste d'options (l'omission délibérée - la traduction littérale - l'addition d'une explication, d'une paraphrase ou d'une note explicative - la substitution culturelle ou cognitive - la compensation ou la conversion - l'emprunt direct). L'objectif de cette recherche est d’examiner les entraves culturelles de la traduction du corpus les sept jours de l'homme, ainsi que les stratégies adoptées lors du passage d'une langue-culture arabe à celle française. Afin de parvenir à nos objectifs, nous allons opter pour la méthode analytique comparative qui nous permet d'analyser quelques problèmes linguistiques de la traduction d'un roman arabe vers le français en les mettant en application sur notre corpus. Nous nous basons aussi sur les stratégies de traduire les termes culturels proposées par Gambier.

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