Une réflexion traductologique appliquée à la traduction arabe de « Monsieur Ibrahim et les fleurs du Coran » de Schmitt.

نوع المستند : المقالة الأصلية

المؤلف

جامعة المنوفية

المستخلص

Résumé :

Nul doute que les traducteurs professionnels doivent recourir à de solutions spéciales au cours de traduction pour nous engendrer l’équivalence précise dans la langue d’arrivée.

Parmi ces solutions, nous avons choisi de porter notre attention sur les procédés indirects de la théorie interprétative ; l’adaptation, l’équivalence, la modulation et la transposition.

Cette étude s’inscrit dans le champ disciplinaire de la traductologie. Plus précisément, cette étude est située dans le cadre des études descriptives orientées vers le processus de traduction et ses multiples procédés directs et indirects. L'histoire de Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran est racontée par le protagoniste, à la première personne du singulier. Ce type de narration plonge le lecteur dans la réalité des faits et l'instantanéité, comme s'il les vivait lui-même. Le roman est linéaire. Il suit l'ordre chronologique des événements, sans effets d'anticipation ou de flash-back. Le rythme de la narration et la longueur de scènes racontées dépendent du narrateur et de sa subjectivité.

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